Les nouvelles momies de Nasca
Historique : de mystérieuses momies tridactyles, conservées dans la diatomite, ont été découvertes dans un lieu encore secret, par des "huaqueros" dans la région de Nasca au Pérou dès 2017. ( La diatomite est une roche siliceuse très légère (densité entre 0,2 à 0,3, soit 200 à 300 kg/m3), très poreuse (50 à 70 % d’eau), friable formée entièrement ou presque de « squelettes » de diatomées, des algues unicellulaires, présentes dans des conditions variées des domaines marins ou lacustres)...
2024 - Des nouvelles momies d'une espèce différente des premières viennent d'être révélées...Elles ont un aspect insectoide.
Qui sont-elles, d'où viennent-elles ?...
Dernières nouvelles - EXCEPTIONNEL !
"Cusco, Mardi 12 mars 2024
De notre plus grande considération :
Beaucoup d'entre vous nous ont contacté pour connaître la position de l'Institut Inkarri Cusco concernant la conférence de presse sur les momies non humaines de Nasca, qui vient de se tenir à Los Angeles, États-Unis.
À cette fin, l'Institut Inkarri souhaite commenter l'organisation de cet évènement, au cours duquel deux corps humanoïdes tridactyles momifiés de type hybride ont été présentés récemment au Pérou, dans la région de Nasca, au Pérou.
La présentation a été organisée à l'initiative de Mme Serena DC et de M. Michael Mazzola, tous deux responsables d'une productrice audiovisuelle basée à Los Angeles.
==> Si vous cherchez sur Internet "Serena DC" sur un moteur de recherche comme Google, vous serez un peu surpris. Les réponses que vous obtiendrez n'inspirent pas beaucoup de confiance dans la « approche » et les soi-disant « résultats scientifiques ».
Nous tenons également à préciser qu'à aucun moment l'Institut Inkarri Cusco n'a été contacté par cette productrice américaine, même si nous sommes les pionniers de cette incroyable histoire.
De même, nous devons signaler qu'à aucun moment l'Institut Inkarri n'a participé à la récupération ou à l'étude de ces prétendues momies.
Nous sommes vraiment désolés que les organisateurs de cet événement aient préféré se concentrer sur les aspects « médiatiques » et « fantôme » au détriment d'une approche et d'arguments scientifiques.
Comment les "documentalistes" peuvent-ils s'improviser comme des "spécialistes de la momie" ?
Cette approche médiatique nous paraît tout à fait regrettable et susceptible de saper l'étude sérieuse de ce cas. N'aurait-il pas été plus prudent et raisonnable d'attendre les résultats des analyses ADN, C14 et/ou histologiques avant de tomber dans ce spectacle ?
Les membres de l'Institut Inkarri émettent donc de sérieuses réserves sur le sérieux de cette "conférence de presse".
Nous sommes aussi très préoccupés par l'apparition soudaine de ces nouveaux corps. Après tout, une sur deux :
1. Soit les momies présentées aujourd'hui sont fausses. Dans ce cas, il s'agit de momies humaines d'origine préhispanique qui ont été mutilées. Cela constitue un crime grave dans la mesure où les profanateurs de tombes auraient délibérément endommagé des biens culturels protégés par l'État. C'est aussi une profanation et un attentat (pour ne pas dire un viol ! ) contre l'intégrité des corps humains qui ont vécu au Pérou il y a plusieurs siècles.
2. - Soit ces momies sont authentiques. Dans ce cas, ce serait également un délit de porter atteinte au patrimoine culturel du Pérou. Nous regrettons que certaines personnes encouragent les chasseurs de trésors ou les huacheros à piller et détruire des sites archéologiques uniques au monde. Ces restes momifiés devraient rester sur place et faire l'objet d'une étude scientifique appropriée. En pillant et endommagés ces sites, les huacheros détruisent le contexte archéologique essentiel à l'étude et à la compréhension de ces restes millénaires.
Seul un projet officiel d'intervention archéologique (PIA), dirigé ou autorisé par le Ministère péruvien de la culture devrait permettre l'accès au lieu où ces incroyables reliques ont été déterrées.
À cet égard, l'équipe de l'Institut Inkarri Cusco invite les organisateurs de cette "conférence" à être plus responsables et à sensibiliser les autorités péruviennes et le grand public à la situation.
Depuis le début de cette affaire incroyable et controversée, nous avons essayé à de nombreuses reprises d'attirer l'attention des autorités officielles péruviennes sur la nécessité d'empêcher tout trafic de matériel culturel.
Une fois de plus, nous voulons attirer l'attention des autorités péruviennes sur cette situation et prendre des mesures pour que ce patrimoine culturel ne quitte plus le pays pour des collections privées.
Ce matériel appartient au patrimoine péruvien et au patrimoine de l'humanité. Comme nous l'avons déjà dit, lors d'une audience publique organisée au Congrès de la République du Mexique le 07 novembre 2023, ces momies devraient appartenir à un musée. C'est ce que les habitants de Nasca et Palpa réclament à juste titre depuis des années.
L'équipe de l'Institut Inkarri Cusco continuera d'attendre pour faire avancer ce grand projet, qui consolidera sans aucun doute une grande opportunité de développement touristique et économique."
Cordialement, du Coeur des Andes,
Thierry Jamin
José Casafranca Montés
Edward Valenzuela Gil
UN AUTRE SPECIMEN HYBRIDE : EARL - voir la PAGE le concernant sur le site Alien Project.
La nouvelle petite momie nommée NUKARRI, présentée par Thierry et Alain, serait-ce une nouvelle espèce, celle-ci ressemble à l'autre petite momie nommée SUYAY ( voir ci-dessous le comparatif).
La petite momie avec des oeufs, baptisée SUYAY (Espérance en quechua).
Tous les détails des Êtres tridactyles se trouvent sur :
VOIR LA PAGE N°1 sur ce blog sur LES ETRES DE NASCA
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