Humains ne décèlent pas, Les animaux « sentent » l’approche de
l’orage ou d’événements plus graves tels qu’éruptions volcaniques ou
séismes. C’est, pense-t-on, affaire d’ultrasons ou perception d’ondes
électromagnétiques. Voir des deux à la fois.
Pourquoi ne seraient-ils pas avertis de
la même manière, et avec une sérieuse avance sur les humains. Du passage
dans notre ciel ou de l’atterrissage sur notre sol de ces fameux
« objets volants visuelles de nature inconnue dont l’histoire
s’enrichit un peu plus chaque année.
Les milieux scientifiques ont pourtant
combattu longtemps cette croyance. Ils ne prêtaient aucune foi aux
récits de tant de témoins après les apparitions des propos tels que :
« Ce sont les chiens qui ont attiré notre attention » ou : « les bêtes,
dans l’étable, ont fait un tel vacarme que nous sommes sortis. »
Mais leur attitude est en train de
changer. Cette précognition animale est en passe de devenir vérité
officielle ; d’où l’intérêt de récapituler les principaux phénomènes
enregistrés en cette matière, depuis quelque vingt années.
Les 29 janvier 1953, un ancien officier de l’armée de l’air américaine fut éveillé par un extraordinaire remue-ménage. Tous les animaux de la ferme s’en mêlaient : les cochons, la basse-cour et même les chevaux qui expédiaient de terribles ruades dans les parois de leur box. Il sortit et vit passer, à faible altitude, un OVNI en forme de disque.
A Quarouble, en septembre 1954 un
habitant, M. Marius Dewilde, put se livrer à une observation du plus
grand intérêt. Or c’est à son chien qu’il la devait : cet animal
s’était mis à hurler en pleine nuit, puis à ramper devant le lit de son
maître jusqu’à ce que celui-ci se soit levé.
Ensuite, il l’avait conduit en grognant
jusqu’à la voie ferrée où était posé un engin mystérieux avec deux
personnages de petite taille à proximité.
Quelques jours plus tard, à Chadeuil,
dans la Drôme, un chien mis à aboyer à la mort. Tous ses congénères du
voisinage l’imitèrent bientôt, et tous les habitants, à leur tour,
surgirent de chez eux, passablement intrigués. Rien ne se passa durant
quelques instants encore. Puis ils virent un grand objet métallique
s’élever en silence vers le ciel.
Le 3 septembre 1965, dans un autre État
américain, celui de New Hampshire, des officiers de police montée furent
arrachés à leur sommeil par les hennissements sans fin et les ruades
fougueuses de leurs bêtes dans l’écurie. Ils n’eurent que le temps
d’apercevoir un objet céleste qui traversait leur ciel à très grande
vitesse.
En décembre 1977, enfin lors des passages
d’engins dans le ciel de Haute Provence, les chiens d’avalanche d’un
centre de secours en montagne se mirent à hurler durant d’interminables
minutes.
Dans chaque cas, donc, c’est un sentiment
de frayeur qui dominait chez l’animal ou les animaux concernés.
Amplement justifié, sans doute, car ils semblent bien plus menacées que
les hommes eux-mêmes par les passages de vaisseaux spatiaux. On en a vu
périr de mort inexplicable « comme celui de M Delwilde, son chien
Kiki ? »Surtout après le passage mais le plus souvent l’or d’un
atterrissage d’OVNI.
En 1953, en Caroline du Sud, quantité de moutons s’étalèrent, littéralement foudroyées, sur le passage d’un objet mystérieux.
Le 30 décembre 1966, autre hécatombe
d’animaux domestiques en Louisiane. Mais, dans ce ça précis, il t plus
surprenant encore : l’OVNI incriminé, qui s’était posé dans un champ
durant un quart d’heure environ, ne fut pas aperçu par les seuls
fermiers mais aussi par un physicien américain qui circulait dans la
région et qui parvint à s’en approcher à une vingtaine de mètres. Ce
savant revint sur les lieux le lendemain. Il constata que toute vie
sauvage avait disparu aussi : il n’y avait plus, dans un vaste secteur,
ni oiseaux, ni insectes.
Plus près de nous, à Brazey-en Morvan,
tout un lot de brebis fut frappé à mort, en juin 1968 sur le passage
d’un objet céleste. Les vétérinaires appelés ne purent fournir aucune
explication. Ils furent tout aussi perplexes devant un autre phénomène :
des limaces apparurent qui étaient couvertes de taches rouges. Personne
n’en avait jamais vu ni entendu mentionner de semblables. Dernière
constatation, enfin, nos animaux ne sont pas menacés seulement de mort
mais aussi de rapt, d’enlèvement, et aussi de prélèvement d’organes.
L’exemple le plus ancien que j’ai pu
recueillir se rapporte à la nuit du 21 avril 1897 ; au siècle dernier,
donc, Mr Alexandre Hamilton, cultivateur, dans le Kansas, fut réveillé
par le tapage de ses animaux dans les étables voisines. Il sortit et
aperçu un étrange engin aérien au dessus d’un pré, à quelque 200 mètres
de la maison. Deux de ses commis le rejoignirent et tous trois
s’approchèrent jusqu’à 50 mètres environ de la chose, laquelle réduisait
encore son altitude jusqu’à n’être plus qu’à 10 mètres du sol.
Une sorte de câble lumineux en sortit un
genre de lasso avec une forme circulaire, et en un instant, une génisse
fut capturée et disparue dans l’appareil.
Terrorisés, les témoins s’enfuirent alors. Mais le lendemain ils retrouvèrent, la peau, la tête, et les pieds de la victime à 5 Kms du lieu de l’enlèvement, les coupes étaient nets.
Terrorisés, les témoins s’enfuirent alors. Mais le lendemain ils retrouvèrent, la peau, la tête, et les pieds de la victime à 5 Kms du lieu de l’enlèvement, les coupes étaient nets.
Les visiteurs invisibles avaient-ils donc
pratiqué sur place une autopsie de la bête ? Ou bien étaient-ils
amateurs de viande, comme les humains.
Le 14 novembre 1964, à Isola, en Italie
du Nord, un OVNI se posa à proximité d’une ferme. Si l’on se rapporte au
journal de la région du 16 du même mois, le propriétaire de la ferme
vit sortir 4 petits hommes, marchèrent vers lui, le paralysèrent «
avec un rayon », puis se dirigèrent vers le clapier et firent main basse
sur ses lapins.
Le 6 novembre 1957 fut une date bien plus
extraordinaire à cet égard. Ce jour-là, à Dante, dans le Tannasses, le
jeune Everett Clarke fit sortir son chien à 6 h 30 du matin.
Contrairement à l’habitude, l’animal s’enfuit assez loin, Everett le
retrouva au terme d’une longue marche : il se retrouva avec beaucoup
d’autres chiens du voisinage ; et cette petite meute aboyait à qui mieux
mieux autour d’un engin étrange posé sur l’herbe.
Quatre « humanoïdes » étaient là aussi et
tentaient de capturer les animaux. Ils renoncèrent, finalement, devant
les crocs menaçants, et réintégrèrent leur bizarre engin de forme
allongé, qui s’éleva très vite sans faire le moindre bruit.
Mais les « petits êtres » n’avaient pas
dit leur dernier mot. On devait les retrouver (eux ou bien leurs frères)
quelques heures plus tard au New Jersey dans une campagne isolée. Le
propriétaire John Trasco les vit apparaître près de lui alors qu’il
donnait à manger à son chien. Non plus quatre mais trois qu’il décrivit
comme de teint très jaune avec des yeux énormes. Ils voulaient prendre
mon chien, moi je ne voulez pas dit-il ? J’ai crié, et les étranges
créatures se sont enfuies dans leurs engins. Le 15 décembre 1967, enfin,
dans le Colorado, plusieurs habitants ont vu passer un « grand objet »
dans le ciel. Le même jour, un cheval disparut. On retrouva son cadavre
un peu plus tard ; plusieurs de ses organes avaient été prélevés d’une
manière professionnelle.
Les choses en sont là, malgré de nombreux
autres exemples qui ont pendant les années suivantes s’est poursuivit,
actuellement en 2006, plus de 2800 cas ont été recensés dans le monde.
Tout n’est pas crédible, certes mais beaucoup sont digne de foi. Telle
que celui de M. Delwilde, que j’ai rencontré particulièrement quelque
année avant sa mort, et qui ma fait remarquer l’enlèvement des quelque
poules par la visite qu’il a eu en septembre 1954. Pourquoi des
kidnappings d’animaux, mais aussi d’hommes, de femmes, d’enfants par de
quelconques extraterrestres ? On sait que quelques personnes, de par le
monde, se flattent d’avoir voyagé dans un OVNI jusqu’à de mystérieuses
planètes.
Il reste que des humains disparaissent
chaque année par milliers, 5000 officiellement sans laisser de trace.
Nous ne comptons pas les disparitions des faits divers.
Nous devons dire que personne jusqu’à
cette date n’a parlé de la disparition des animaux, voilà une erreur
énorme, les soit disant professionnels de l’ufologie n’ont jamais pris
cela en considération. Je pense que nous avons une recherche dans ce
domaine qui a été négligé volontairement pour des raisons de paniques.
Nous pouvons penser que des mutations
d’animaux sont en cours, ce qui pourrait expliquer au cour des temps, et
même actuellement, l’apparition de bêtes qui ne ressemble à rien de ce
que nous connaissons sur Terre. Tout cela évidemment est toujours une
supposition, mais il faut y réfléchir sérieusement, et surtout ne pas
passer dans l’absurde.
Fait à Courton- le- bas le 17 février 2007