Païtiti est la plus fascinante histoire de la mythologie inca. Selon la légende et les vieilles chroniques, cette ville immense se trouverait perdue quelque part dans la forêt amazonienne péruvienne.Depuis plus de 20 ans, Thierry Jamin, chercheur et explorateur français, arpente la jungle amazonienne...
Ce sont 20 années de rencontres avec des personnages incroyables. Vingt années de face à face avec les animaux de la jungle, de naufrages en pirogue, de fausses routes et de vrais amis.
Après les découvertes extraordinaires réalisées par son équipe en 2006, sur le site des pétroglyphes de Pusharo, Thierry Jamin découvre en 2009 une dizaine de sites incas inconnus dans la vallée de Lacco, sur le chemin de Païtiti. Incroyable ! Certains d’entre eux sont de l’ampleur de Pisac ou Choquequiraw…
Thierry Jamin et ses compagnons en sont désormais persuadés : La ville secrète de Païtiti n’est plus très loin… Source : granpaititi
Son site - SA PAGE
Païtiti-Eldorado, la ville secrète des Incas
C’est l’une des histoires les plus fascinantes de la mythologie inca. Et c’est aussi aujourd’hui la plus grande énigme archéologique d’Amérique du Sud. Une énigme que l’on est peut-être sur le point de percer. D’après ce que l’on sait grâce aux chroniques de l’époque et aux vieilles traditions légendaires, Païtiti aurait été une ville immense qui se trouverait enfouie quelque part dans la forêt amazonienne péruvienne. C’est une ville que l’on a cherchée dans toute l’Amérique du Sud. Mais depuis une cinquantaine d’années, les recherches se sont focalisées vers le sud-est du Pérou, en Amazonie péruvienne. Ce qui paraît logique, car Païtiti est lié à l’Empire inca. Et le Pérou moderne constitue ce qui fut le cœur de cet empire : le Tawantinsuyu. Source : granpaititi
Historien et explorateur Chercheur et explorateur français, Thierry Jamin est diplômé aux universités de Tours (DEUG d’Histoire & Géographie, Licence d’Histoire & Géographie, Maîtrise d’Histoire Moderne) et de Toulouse (DEA Histoire d’Amérique latine) (Curriculum Vitae). Auteur de “L’Eldorado Inca: A la recherche de Païtiti” (Paris, novembre 2006) et de “Pusharo, la memoria recobrada de los Incas” (Lima, noviembre de 2007), il consacre ses travaux, depuis 1998, à la présence permanente des Incas en forêt amazonienne et à la recherche de la cité perdue de Païtiti. Thierry Jamin a officialisé, en septembre 2006, la découverte de nouveaux pétroglyphes (figures gravées dans la roche) sur le site archéologique de Pusharo et des premiers géoglyphes amazoniens (figures géantes gravées dans le sol), jamais signalés auparavant. À l’automne 2010, il révèle l’existence d’une trentaine de sites archéologiques jusqu’alors inconnus, découverts par son équipe dans les vallées de Lacco et Chunchusmayo, département de Cusco. Sa campagne de recherche de 2011, dans le Sanctuaire National de Megantoni, lui permit d’accumuler de nouveaux indices sur l’existence d’un grand centre peuplement, non loin de là...
L'Institut INKARI au Pérou (Cuzco)
SITE INTERNET
Depuis 1998, le chercheur et explorateur français Thierry Jamin parcourt le sud-est du Pérou en tous sens sur les traces de la présence permanente des Incas en forêt amazonienne et de la cité perdue de Païtiti.
Après de nombreuses campagnes de recherches, réalisées en collaboration avec les autorités péruviennes, Thierry Jamin et ses compagnons créent en septembre 2009 une première organisation non gouvernementale dédiée à la recherche scientifique. Une trentaine de mises au jour archéologiques exceptionnelles sera grâce à eux officialisée, entre 2009 et 2011, dans le nord du département de Cusco. Parmi celles-ci, plusieurs nécropoles, des forteresses et de nombreuses citadelles incas magnifiques peuplées de centaines d’édifices, de dizaines de rues et de places, etc. Thierry Jamin en est persuadé, la ville principale de ses recherches n’est plus très loin.
LE FILM DES RECHERCHES en forêt Amazonienne
Tous les films sur les expéditions ici
Sur l'affiche : Thierry Jamin, José Casafranca, Edward Valenzuela Gil
Thierry JAMIN est toujours en attente de pouvoir rejoindre un jour la fameuse "Montagne Carrée" située en pleine forêt Amazonienne, où pourrait se trouver la cité recherchée.
PAITITI - La cité perdue
Le lieu est très probablement identifié grâce à des images satellites et une suite de facteurs très favorables lors des précédentes explorations, et le dernier objectif est maintenant de pouvoir lancer une grande expédition en 2017, avec toutes les autorisations légales des Ministères de l'Environnement et de la Culture du Pérou.
L'endroit identifié se trouve dans une région au nord de Cuzco, une région faisant partie de l'Amazone péruvien, dans un parc protégé et habité seulement par quelques communautés natives... et des trafiquants de différentes natures... C'est l'occasion d'une grande conversation (plus qu'une interview) amicale avec l'un des rares explorateurs français, installé au Pérou depuis 1998 avec le soutien de plusieurs instituts renommés et aussi l'approbation de plusieurs regroupements de communautés de natifs amazoniens. En effet, son association Inkari est reconnue pour son sérieux scientifique, sa participation à la lutte contre les huaqueros (ces pilleurs de tombes et de sites anciens - pilleurs de huacos (vestiges)) et ses aides aux populations locales indiennes.
Païtiti, la cité oubliée des Incas
La quête de Thierry Jamin pour trouver Paititi dure depuis 1998, avec un historique partant des pyramides (naturelles) de Paratoari en passant par l'incroyable falaise de Pusharo et sa carte de pétroglyphes, sa découverte de grands glyphes sculptés dans la montagne en face, puis, en passant par Mameria (découverte en 1979 par ses amis les Cartagena, qui préfaceront d'ailleurs le livre de Thierry Jamin sur Puscharo), puis en remontant vers le nord et le Parc du Manù, la découverte et redécouverte de plusieurs sites (référencés et cadastrés alors par le Ministère de la Culture Péruvien) dans la vallée de Lacco et de Chunchusmayo, des villages de montagnes (des Llactapata), des forteresses, des temples, des nécropoles et des terrasses de cultures, puis finalement les indications et aides des Matsiguengas qui révèlent l'existence d'une ville plus grande que Machu Picchu dans la zone du Parc de Megantoni. Puis l'approche de la petite citadelle d'Umapata et d'une énorme zone agricole inca et l'apport d'images satellites du parc confirmeront l'existence d'une étrange montagne carrée et surtout de lacs jumeaux et d'un lac carré, qui correspondent parfaitement à la légende de Païtiti des indiens...
Après plusieurs tentatives entre 2012 et 2014 et après une interdiction de passage par le chef de la communauté des Sabamantiari qui habitent dans ce Parc, avec un probable lien avec la découverte de pistes d'atterrissages illégales de trafiquants de cocaïne par l'armée péruvienne peu après, l'équipe Inkari pense que le passage à pied est impossible et obtient un contrat de location d'un hélicoptère équipé de treuil qui pourra les déposer au sommet de cette fameuse montagne carrée pour y rechercher des vestiges. Mais, comme cela c'est déjà produit dans le passé, les autorités mettent du temps à accorder les autorisations d'expédition (il faut les autorisations du Ministère de l'Equipement puis celle du Ministère de la Culture péruviens), et le changement de gouvernement (et changement des hauts fonctionnaires) au printemps 2016 n'arrange pas les choses... Par contre, malheureusement et pendant ce temps, les huaqueros (pilleurs de vestiges) péruviens ont probablement eu le temps d'atteindre le site et commencé à le piller. Et, de plus, plusieurs expéditions illégales se sont faites intercepter par la police péruvienne cette année 2016 et des explorateurs italiens, américains et péruviens sont donc actuellement poursuivis juridiquement par les autorités péruviennes. Il n'est pas inutile de rappeler que plusieurs expéditions (sans rappeler la disparition du fameux Colonel Fawcett) ont littéralement disparues lors de la recherche de Païtiti (qui correspond à la recherche de l'Eldorado des conquistadors) encore dans les années 1970, mais aussi dans les années 1990...Lors de cette conversation, il est aussi question de la découverte de possibles cavités et salles sous l'un des principaux temples de Machu Picchu en 2012 et du refus depuis 2013 de la part des autorités d'une autorisation de confirmation par des fouilles (assez probablement orchestrée par une certaine jalousie et auto-attribution par les archéologues en charge de Machu Picchu...). Source : sciences-faits-histoires
Sites de Thierry Jamin :
granpaititi.com
.thierryjamin.com wikipedia
.pusharo.com
.instituto-inkari.org
machupicchu-ciudadela
.the-alien-project.com
Société de production - JUNGLE DOC
Avec :
Recherches légales
Ministère de la Culture - Ministère de l'Environnement - PérouNous tenons à préciser que toutes les recherches réalisées par Thierry Jamin et son groupe font systématiquement l’objet d’un projet dirigé par un archéologue péruvien et présenté aux autorités compétentes : Ministère de la Culture, Ministère de l’Environnement, etc.
Les recherches archéologiques de Thierry Jamin, sur les traces de Païtiti, respectent le « Règlement des Recherches Archéologiques », approuvé le 24 janvier 2004 par le gouvernement péruvien, dans sa Résolution Suprême N° 004 – 2000 – ED.
Par ailleurs, les recherches de Thierry Jamin respectent également la « Loi Générale du Patrimoine Culturel de la Nation », Loi N° 28296, du 21 juillet 2004.
Chaque campagne de recherche fait l’objet d’un projet soumis au Ministère de la Culture, lequel, après examen, l’avalise au travers d’une Résolution Vice-Ministérielle.
Au terme de chaque campagne, Thierry Jamin remet aux autorités du Pérou un « Rapport Final », accompagné de la totalité du matériel archéologique rencontré. Ce rapport fait ensuite l’objet d’une étude attentive, puis, finalement, d’une Résolution approuvant le document.
Les sites archéologiques rencontrés par l’équipe de Thierry sont officiellement enregistrés au Ministère de la Culture et les matériels archéologiques sont codifiés selon la nomenclature en vigueur. Nous aimerions qu’il en soit ainsi pour toutes les recherches organisées au Pérou sur les traces de la ville perdue des Incas. Ce n’est, hélas, pas le cas... Source : granpaititi.com
Livres de Thierry Jamin
LES FILMS "INCAMAZONIA" sur la recherche de PAITITI sont disponibles ICI
Mon histoire d'ovni par Thierry JAMIN
Depuis plus de vingt ans, Thierry Jamin, chercheur et explorateur français, arpente sans relâche la forêt amazonienne sur les traces de Païtiti, la grande cité perdue des Incas. Au Pérou, son nom résonne encore comme le synonyme d’un Eldorado perdu quelquepart dans la forêt à l’ombre des pics enneigés de la cordillère des Andes. Vingt ans d’explorations, une vingtaine d’expéditions, plus de trente sites époustouflants découverts, mais aussi cinq procès, la prison et des menaces… Vingt ans de rencontres… Mais un seul but : découvrir Païtiti.
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Païtiti-Eldorado, la ville secrète des Incas
C’est l’une des histoires les plus fascinantes de la mythologie inca. Et c’est aussi aujourd’hui la plus grande énigme archéologique d’Amérique du Sud. Une énigme que l’on est peut-être sur le point de percer. D’après ce que l’on sait grâce aux chroniques de l’époque et aux vieilles traditions légendaires, Païtiti aurait été une ville immense qui se trouverait enfouie quelque part dans la forêt amazonienne péruvienne. C’est une ville que l’on a cherchée dans toute l’Amérique du Sud. Mais depuis une cinquantaine d’années, les recherches se sont focalisées vers le sud-est du Pérou, en Amazonie péruvienne. Ce qui paraît logique, car Païtiti est lié à l’Empire inca. Et le Pérou moderne constitue ce qui fut le cœur de cet empire : le Tawantinsuyu. Source : granpaititi
Historien et explorateur Chercheur et explorateur français, Thierry Jamin est diplômé aux universités de Tours (DEUG d’Histoire & Géographie, Licence d’Histoire & Géographie, Maîtrise d’Histoire Moderne) et de Toulouse (DEA Histoire d’Amérique latine) (Curriculum Vitae). Auteur de “L’Eldorado Inca: A la recherche de Païtiti” (Paris, novembre 2006) et de “Pusharo, la memoria recobrada de los Incas” (Lima, noviembre de 2007), il consacre ses travaux, depuis 1998, à la présence permanente des Incas en forêt amazonienne et à la recherche de la cité perdue de Païtiti. Thierry Jamin a officialisé, en septembre 2006, la découverte de nouveaux pétroglyphes (figures gravées dans la roche) sur le site archéologique de Pusharo et des premiers géoglyphes amazoniens (figures géantes gravées dans le sol), jamais signalés auparavant. À l’automne 2010, il révèle l’existence d’une trentaine de sites archéologiques jusqu’alors inconnus, découverts par son équipe dans les vallées de Lacco et Chunchusmayo, département de Cusco. Sa campagne de recherche de 2011, dans le Sanctuaire National de Megantoni, lui permit d’accumuler de nouveaux indices sur l’existence d’un grand centre peuplement, non loin de là...
SITE INTERNET
Depuis 1998, le chercheur et explorateur français Thierry Jamin parcourt le sud-est du Pérou en tous sens sur les traces de la présence permanente des Incas en forêt amazonienne et de la cité perdue de Païtiti.
LE FILM DES RECHERCHES en forêt Amazonienne
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Thierry JAMIN est toujours en attente de pouvoir rejoindre un jour la fameuse "Montagne Carrée" située en pleine forêt Amazonienne, où pourrait se trouver la cité recherchée.
PAITITI - La cité perdue
Le lieu est très probablement identifié grâce à des images satellites et une suite de facteurs très favorables lors des précédentes explorations, et le dernier objectif est maintenant de pouvoir lancer une grande expédition en 2017, avec toutes les autorisations légales des Ministères de l'Environnement et de la Culture du Pérou.
L'endroit identifié se trouve dans une région au nord de Cuzco, une région faisant partie de l'Amazone péruvien, dans un parc protégé et habité seulement par quelques communautés natives... et des trafiquants de différentes natures... C'est l'occasion d'une grande conversation (plus qu'une interview) amicale avec l'un des rares explorateurs français, installé au Pérou depuis 1998 avec le soutien de plusieurs instituts renommés et aussi l'approbation de plusieurs regroupements de communautés de natifs amazoniens. En effet, son association Inkari est reconnue pour son sérieux scientifique, sa participation à la lutte contre les huaqueros (ces pilleurs de tombes et de sites anciens - pilleurs de huacos (vestiges)) et ses aides aux populations locales indiennes.
Païtiti, la cité oubliée des Incas
La quête de Thierry Jamin pour trouver Paititi dure depuis 1998, avec un historique partant des pyramides (naturelles) de Paratoari en passant par l'incroyable falaise de Pusharo et sa carte de pétroglyphes, sa découverte de grands glyphes sculptés dans la montagne en face, puis, en passant par Mameria (découverte en 1979 par ses amis les Cartagena, qui préfaceront d'ailleurs le livre de Thierry Jamin sur Puscharo), puis en remontant vers le nord et le Parc du Manù, la découverte et redécouverte de plusieurs sites (référencés et cadastrés alors par le Ministère de la Culture Péruvien) dans la vallée de Lacco et de Chunchusmayo, des villages de montagnes (des Llactapata), des forteresses, des temples, des nécropoles et des terrasses de cultures, puis finalement les indications et aides des Matsiguengas qui révèlent l'existence d'une ville plus grande que Machu Picchu dans la zone du Parc de Megantoni. Puis l'approche de la petite citadelle d'Umapata et d'une énorme zone agricole inca et l'apport d'images satellites du parc confirmeront l'existence d'une étrange montagne carrée et surtout de lacs jumeaux et d'un lac carré, qui correspondent parfaitement à la légende de Païtiti des indiens...
Après plusieurs tentatives entre 2012 et 2014 et après une interdiction de passage par le chef de la communauté des Sabamantiari qui habitent dans ce Parc, avec un probable lien avec la découverte de pistes d'atterrissages illégales de trafiquants de cocaïne par l'armée péruvienne peu après, l'équipe Inkari pense que le passage à pied est impossible et obtient un contrat de location d'un hélicoptère équipé de treuil qui pourra les déposer au sommet de cette fameuse montagne carrée pour y rechercher des vestiges. Mais, comme cela c'est déjà produit dans le passé, les autorités mettent du temps à accorder les autorisations d'expédition (il faut les autorisations du Ministère de l'Equipement puis celle du Ministère de la Culture péruviens), et le changement de gouvernement (et changement des hauts fonctionnaires) au printemps 2016 n'arrange pas les choses... Par contre, malheureusement et pendant ce temps, les huaqueros (pilleurs de vestiges) péruviens ont probablement eu le temps d'atteindre le site et commencé à le piller. Et, de plus, plusieurs expéditions illégales se sont faites intercepter par la police péruvienne cette année 2016 et des explorateurs italiens, américains et péruviens sont donc actuellement poursuivis juridiquement par les autorités péruviennes. Il n'est pas inutile de rappeler que plusieurs expéditions (sans rappeler la disparition du fameux Colonel Fawcett) ont littéralement disparues lors de la recherche de Païtiti (qui correspond à la recherche de l'Eldorado des conquistadors) encore dans les années 1970, mais aussi dans les années 1990...Lors de cette conversation, il est aussi question de la découverte de possibles cavités et salles sous l'un des principaux temples de Machu Picchu en 2012 et du refus depuis 2013 de la part des autorités d'une autorisation de confirmation par des fouilles (assez probablement orchestrée par une certaine jalousie et auto-attribution par les archéologues en charge de Machu Picchu...). Source : sciences-faits-histoires
Sites de Thierry Jamin :
granpaititi.com
.thierryjamin.com wikipedia
.pusharo.com
.instituto-inkari.org
machupicchu-ciudadela
.the-alien-project.com
Société de production - JUNGLE DOC
Ministère de la Culture - Ministère de l'Environnement - PérouNous tenons à préciser que toutes les recherches réalisées par Thierry Jamin et son groupe font systématiquement l’objet d’un projet dirigé par un archéologue péruvien et présenté aux autorités compétentes : Ministère de la Culture, Ministère de l’Environnement, etc.
Les recherches archéologiques de Thierry Jamin, sur les traces de Païtiti, respectent le « Règlement des Recherches Archéologiques », approuvé le 24 janvier 2004 par le gouvernement péruvien, dans sa Résolution Suprême N° 004 – 2000 – ED.
Par ailleurs, les recherches de Thierry Jamin respectent également la « Loi Générale du Patrimoine Culturel de la Nation », Loi N° 28296, du 21 juillet 2004.
Chaque campagne de recherche fait l’objet d’un projet soumis au Ministère de la Culture, lequel, après examen, l’avalise au travers d’une Résolution Vice-Ministérielle.
Au terme de chaque campagne, Thierry Jamin remet aux autorités du Pérou un « Rapport Final », accompagné de la totalité du matériel archéologique rencontré. Ce rapport fait ensuite l’objet d’une étude attentive, puis, finalement, d’une Résolution approuvant le document.
Les sites archéologiques rencontrés par l’équipe de Thierry sont officiellement enregistrés au Ministère de la Culture et les matériels archéologiques sont codifiés selon la nomenclature en vigueur. Nous aimerions qu’il en soit ainsi pour toutes les recherches organisées au Pérou sur les traces de la ville perdue des Incas. Ce n’est, hélas, pas le cas... Source : granpaititi.com
Un site sur le Pérou : Voyage Pérou Evasion