L'incident de Rendlesham

L'incident de Rendlesham (Angleterre) 

Les nuits du 26 et 28 décembre 1980, à Rendlesham près de la Base de Bentwaters dans le sud de l'Angleterre,  un détachement de militaires américains observa un phénomène physique incroyable près de la forêt....









L'Affaire de RENDLESHAM

Emplacement de l'incident
L'incident de Rendlesham se déroula dans le sud de l'Angleterre les nuits du 26 et 28 décembre 1980. Un détachement de militaires américains observa dans les alentours de la base de Bentwaters différents phénomènes inexpliqués.

Chronologie des événements

Le 26 décembre 1980, vers 1 h du matin, un soldat de la base aérienne américaine de Bentwaters qui faisait une ronde de service aperçut une lumière rouge particulièrement puissante qui semblait venir de la forêt de Rendlesham longeant le camp.

Pensant à un crash d'avion, le soldat contacta la tour de contrôle de la base qui lui répondit qu'aucun vol n'était en cours. Les autorités de la base dépêchèrent immédiatement deux autres hommes pour tirer cette affaire au clair. Dès qu'ils pénétrèrent dans la forêt, les trois soldats remarquèrent le bruit étrangement fort des cris d'animaux, comme si tous les animaux de la forêt avaient été pris de panique.
S'approchant de la source lumineuse, les trois témoins finirent par déboucher dans une clairière au centre de laquelle se trouvait une forte lumière blanc/jaune surmontée d'une lumière rouge intermittente et dont la base projetait une puissante lumière bleue. S'approchant jusqu'à six ou huit mètres du phénomène, les militaires purent découvrir qu'il s'agissait d'un objet métallique de forme pyramidale, de trois mètres de base et deux mètres de haut qui semblait posé là, sur une espèce de trépied.
Les trois témoins firent le tour de l'objet pour trouver une éventuelle trappe ou ouverture mais n'en virent aucune. L'un des soldats essaya de monter sur l'objet, mais ce dernier s'éleva d'environ un mètre, renversant le soldat, et partit à l'horizontale vers la forêt avec une étrange trajectoire en zigzag.
Les trois témoins essayèrent de rattraper le phénomène, mais avant qu'ils puissent l'atteindre, l'objet décolla verticalement et disparut quasi instantanément de leur vue.

   
Une fois le jour levé, une patrouille découvrit trois traces dans le sol à l'endroit où était apparu l'étrange objet. Des moulages des traces et des prélèvements de sol furent réalisés. Des mesures décelèrent une radioactivité significative au milieu des trois traces.

Cl Charles HALT

Le 28 décembre 1980, vers 3 h, le chef de la police militaire de la base (prévenue par une patrouille de garde) appela le colonel Charles Halt, qui dirigeait la base au moment des faits, pour le prévenir que « l'OVNI était de retour ».Bien décidé à prouver l'origine rationnelle du phénomène, le colonel Halt décida de prendre personnellement le commandement du détachement qui devait inspecter la zone de l'apparition. 

Le colonel rejoint rapidement une douzaine d'hommes qui l'attendaient déjà à la lisière de la forêt. Le détachement s'aperçut rapidement que leurs lampes à gaz refusaient de s'allumer et que de nombreux parasites brouillaient les communications radio (l'opérateur radio dut même installer un relais à la lisière de la forêt pour pouvoir rester en contact avec la base).
Le détachement retrouva rapidement la clairière où était apparu le premier phénomène ; un soldat équipé d'un compteur Geiger confirma les relevés de radioactivité du 26 décembre.
Tout d'un coup, les hommes aperçurent un objet en forme d'ellipse, extrêmement lumineux, de couleur rouge mais avec un centre plus sombre, qui flottait à quatre mètres environ du sol au milieu des arbres en direction de l'est. Immédiatement, les hommes partirent en direction de l'objet qui semblait s'éloigner d'eux.
Ils débouchèrent rapidement sur une clôture de barbelés qui marquait la séparation avec le champ d'un fermier local. L'OVNI continua sa trajectoire jusqu'au milieu du champ, le colonel Halt le décrivit comme « fait d'acier en fusion ». Les hommes remarquèrent également les nombreux cris d'animaux affolés qui venaient de la ferme située non loin de là. Tout d'un coup, dans un bruit ressemblant à celui d'un flash au sodium, l'OVNI se sépara en cinq objets blancs lumineux qui s'envolèrent vers le ciel.
Longeant la propriété du fermier pour avoir un meilleur angle de vue, les hommes purent continuer à observer trois de ces formes lumineuses qui évoluaient dans le ciel en suivant des trajectoires anguleuses et en produisant par intermittence des lueurs rouges, vertes et bleues.
Le colonel Halt contacta immédiatement la défense aérienne qui confirma par deux fois n'avoir aucun écho radar dans la zone. Soudain, venant du sud, un quatrième objet lumineux apparut et se dirigea vers les hommes, puis s'arrêta à une trentaine de mètres d'eux.
Un mince rayon lumineux d'une quinzaine de centimètres de diamètre, fut projeté de l'OVNI jusqu'aux pieds des militaires. Après quelques secondes, le rayon s'arrêta, l'OVNI s'éleva à la verticale et disparut de la vue des hommes de l'escadron. Les hommes continuèrent d'observer le ballet anguleux des trois premiers phénomènes pendant une heure puis le colonel Halt donna l'ordre de rentrer à la base. Les films-photo parurent voilés et ne purent être exploités. Le colonel Halt déposa un mémo sur cette observation auprès du ministère de la défense britannique le 13 janvier 1981.


Thèse officielle
L'US Army n'engagea aucune enquête sur cette affaire et répondit aux différents interlocuteurs que l'armée américaine avait cessé d'enquêter sur le phénomène OVNI depuis la clôture du projet Blue Book en 1969.
Certains experts avancèrent la théorie que le colonel Halt et ses hommes avaient simplement vu des jeux de lumières dus au faisceau du phare d'Orford Ness situé à quelques kilomètres.
Aucun autre témoignage visuel ou écho radar ne vint corroborer le témoignage du colonel Halt.
Arguments ufologiques

Les états de service du colonel Halt et la multiplicité des témoins permettent d'évacuer formellement la thèse d'un canular ou d'une affabulation.
(source : wikipedia)





 L’affaire de Rendlesham par ovnis-usa

Au cours des dernières décennies, certaines armées parmi les plus puissantes du Monde ont dû faire face à l’intrusion inopinée sur leur territoire d’engins volants non identifiés. Malgré l’hétérogénéité spatiale des manifestations liées au phénomène Ovni, bon nombre d’évènements se démarquent en survenant sur des sites stratégiques qui n’ont évidemment rien d’anodin, ni rien du hasard, surtout lorsqu’il s’agit de bases de stockage d’armes nucléaires tactiques. 

L'un des cas les plus spectaculaires concerne les bases aériennes militaires anglo-américaines RAF Bentwaters and RAF Woodbridge à Suffolk en Angleterre, les deux bases étant séparées par la forêt de Rendlesham. Le témoignage provient directement de l’ancien responsable de la base de Bentwaters à l’époque des événements, le Colonel Charles I. Halt, dont voici le résumé.

Le 26 décembre 1980, aux alentours de 3h du matin, des soldats en patrouille aperçurent des lumières inhabituelles dans les bois, et demandèrent à leur hiérarchie l’autorisation de se rendre sur place. Les militaires rapportèrent avoir observé dans une clairière un objet à l’aspect métallique, de forme triangulaire, d’une longueur horizontale approximative de deux à trois mètres, et d’une hauteur de deux mètres. L’objet illuminait entièrement la forêt d’une vive lumière blanche, et ils distinguèrent une lumière rouge clignotante à son sommet, ainsi qu’une nuée de lumières bleues au-dessous. Les militaires s'en approchèrent jusqu'à quelques mètres, l'inspectèrent sans trouver d'ouverture, et remarquèrent différents symboles apposés sur celui-ci. Puis l'engin s'éloigna vers les bois pour enfin disparaître dans le ciel à une vitesse vertigineuse.

 

Quelques heures plus tard furent découvertes sur les lieux trois dépressions, des empreintes de 4 cm de profondeur et 18 cm de diamètre, formant un ensemble triangulaire. Par la suite on détecta également des signatures de radiations type beta/gamma – de l’ordre de 0.1 milliroentgens - aux emplacements des-dites dépressions, et une plus faible proportion sur les arbres alentours.

  Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Dans la nuit du 27-28 décembre, cette fois c’est une intense lumière rouge qui apparut dans les bois. Le chef de la police militaire de la base en informa le Colonel Halt, lequel décida de rejoindre la douzaine de militaires déjà postés en bordure de la forêt. Ils constatèrent que la source lumineuse provenait de la clairière où avait été observé le premier phénomène. Ils atteignirent l'endroit et virent un objet rougeoyant en forme d'ellipse flottant à environ quatre mètres au-dessus du sol, qui se dirigea lentement vers le champ du fermier voisin, au delà de la clôture de fils barbelés. Les militaires n’eurent pas le temps de s'approcher davantage que l’objet lumineux pulsa, semblant éjecter une flopée de particules, et se sépara en cinq objets distincts qui s'envolèrent immédiatement.


Le point rouge au centre indique le champ du fermier, dans la forêt de Rendlesham près de Capel St. Andrew. Le phare d'Orford Ness est à droite de la carte. La base de la RAF à Bentwaters est indiquée par le point rouge en haut, à environ 10 kms au nord-est de la base RAF de Woodbridge, à gauche.
Aussitôt après trois objets lumineux furent détectés dans le ciel (confirmés ensuite par les radars de la base et de Londres), deux au Nord et un au Sud. Un quatrième engin lumineux apparut au Sud et se dirigea à très grande vitesse vers le groupe de militaires, se figeant à une trentaine de mètres d'eux. L'engin projeta une sorte de rayon-laser devant leurs pieds durant quelques instants, puis repartit dans les airs en disparaissant à nouveau. Les trois autres objets dans le ciel continuèrent à évoluer rapidement via des mouvements angulaires affinés, et firent jaillir des lumières rouges, vertes et bleues. Les deux objets au Nord restèrent visibles un peu plus d’une heure, celui au Sud entre deux et trois heures, ce dernier projetant de temps en temps des rayons de lumière vers le sol. 

Tout ceci pourrait laisser entrevoir l’apparence d’un début de scénario pour un film de science-fiction, et pourtant ce rapport a été officiellement mis à disposition du grand public par l’armée britannique elle-même en 1983, grâce au ‘Freedom of Information Act’. La presse, les radios et les chaînes télévisées outre-manche en ont fait quelque temps leurs choux gras, obligeant les ‘debunkers’ (comme par exemple James McGaha à l’époque) à sortir de leur tanière et de conclure, et ça ne s’invente pas :


"Les lumières dans les bois ne sont que le résultat de l’éclairage périodique du phare d'Orford Ness à proximité". Et Charles I. Halt de rétorquer : "Le phare était dans notre champ de vision durant tout ce temps, mais il était à 35-45° de différence par rapport aux événements en question". 

Charles I. Halt déclara également que ces manifestations ont a priori un lien avec les stocks d’armements nucléaires présents dans les sous-sols de la partie américaine de la base. Il précisa que les Etats-Unis n’ont jamais officiellement avoué posséder de telles armes en territoire britannique, mais il apprit de source sûre par sa hiérarchie que c’était bien le cas (au sein de bunkers renforcés, extrêmement bien gardés, dans la section US). D’après lui les ‘objets’ lumineux s’intéressaient assidûment à tout ce qui touche à l’arsenal nucléaire.


A l’époque les troupes soviétiques basées en Europe de l’Est étaient en surnombre par rapport à l’ensemble des forces armées alliées stationnées sur le Continent. En cas d’invasion soviétique en Allemagne de l’Ouest, les plans US prévoyaient l’utilisation d’armes nucléaires tactiques pour repousser l’ennemi, les ADM étant chargées sur des avions bombardiers F-16 préparés à cet effet, et capables d’atteindre la zone en quelques dizaines de minutes.

Selon les témoignages du personnel de la base lors des manifestations survenues le 27-28 décembre, bon nombre évoquent le fait que l’un des Ovnis projetait une sorte de rayon-laser à l’endroit exact des bunkers contenant les têtes nucléaires. Les heures et les jours suivants, les bruits de couloir laissaient entendre que certains dispositifs électroniques relatifs aux armements nucléaires avaient été mis hors service durant un temps. 


La rumeur n’était pas infondée car il s’est avéré que ‘quelque chose d’inhabituel’ s’était produit – selon les ‘briefings’ dans les sections – au cœur même du centre névralgique lié aux armes nucléaires.

Halt répondit ceci quant à la manifestation de ces engins : "Nous avons vu des objets qui étaient sous le contrôle d’une intelligence. […]

  Rendlesham symboles

Symboles relevés par le sergent Jim Penniston sur l'engin. Il avait observé l'ovni de très près au sol, pendant une demi-heure, et l'avait même touché.
Ce devait être quelque chose au-delà [de la technologie humaine] à cause des vitesses et mouvements de ces engins, les angles accomplis, et tout ce qu’ils faisaient. Ces objets auraient-ils pu être contrôlés à distance ? Certainement. […] Je n’ai jamais vu de ‘petits hommes verts’, mais il est possible qu’il s’agisse d’une technologie extraterrestre. Bien sûr je souhaiterais obtenir des réponses, mais je pense que je ne les aurai jamais." - Karmayata, pour Ovnis-USA


Jeudi 3 Février 2011

L'affaire de Bentwaters AFB/Rendlesham (Grande-Bretagne, 26 Décembre 1980) vient de rebondir sur les forums anglo-américains, la liste Ufo-Updates, etc... après qu'on ait redécouvert ce compte-rendu d'une séance d'hypnose à laquelle le Sergent Jim Penniston, l'un des principaux témoins, avait accepté de se livrer à la demande de sa hiérarchie militaire. 
L'enquêtrice Linda Moulton Howe avait publié ce texte en 1988 dans son livre "Glimpses of Other Realities, Vol. II: High Strangeness" : 
Extraits de la séance d'hypnose de septembre 1994 avec l'ex-Sergent de l'USAF James Penniston à propos de sa rencontre avec un OVNI à Bentwaters AFB :
Les agents ont demandé au Sgt. Penniston de signer un document les autorisant à lui administrer du Sodium Pentothal et à enregistrer la séance sous hypnose sur deux enregistreurs cassettes.

 Jim Penniston

Penniston a accepté "pour qu'ils arrêtent de me harceler. Ils avaient l'air beaucoup plus heureux après que j'eus signé ce papier." Il se souvient que les agents de Bentwaters l'ont fait "s'allonger sur une table en noyer" et qu'un "type anglais" s'est avancé avec une seringue préparée. Un Américain lui affirma que l'opération est sans douleur : "C'est la procédure standard et il n'y a pas à s'inquiéter. Nous l'avons déjà fait."  
Les questions ont commencé à propos des lumières qui sont apparues à la porte Est de Bentwaters AFB à 00h02 le 26 Décembre 1980.
Agent : "Que se passe-t-il ?"


Sgt. Penniston - Je vois le vaisseau. Les lumières se dissipent. Ils veulent savoir quels symboles je vois. Je ne veux pas leur dire, mais je leur dis. Ils veulent savoir ce que j'ai fait ensuite. J'ai répondu que j'ai ressenti les symboles car ils sont apparus en relief. (C'est Howe qui souligne). Parlez-leur à propos des lumières. Lumière blanche. Ils savent déjà à propos des lumières. Ils me demandent si je vois du code binaire ? Je vois du code binaire. Ils me ralentissent. 
Agent : "Que se passe-t-il ? 
- Je comprends.
Agent : "Qu'est ce que vous comprenez à propos de ce code ?"
- Je suis leur interprète. Ils ont besoin d'interprètes. Les lumières. 
Agent : "Les lumières. Donc qu'est_ce que le code signifie ?" 
- Vous ne pouvez pas lire ces codes à moins d'avoir un interprète.
Je comprends maintenant ce qui se passe. 
Agent : "Que se passe-t-il ?" 
- Les symboles 
Agent : "Les symboles - Que signifient ces symboles ?" 
- Oh, ce sont des informations qui sont échangées. Cette machine - c'est pour les interprètes, il y a beaucoup d'interprètes. 
Agent : "Êtes-vous un interprète ?" 
- Oui
Agent : "Pouvez-vous interpréter ce code pour moi ?"
- Oui 
Agent : "Faites-le maintenant" 
- Expliquer. Mission. But. 
Agent : "Et quelle est leur mission ?" 
- Contact 
Agent : "Est ce qu'ils précisent le contact avec quoi ?" 
- Nous. 
Agent : "Le But ?" 
- Recherche. 
Agent : "Pour ?" 
- Les aider.
Agent : "Les aider à quoi ?"

  - Eux-mêmes. Ce sont des voyageurs temporels. Ils sont nous. (C'est Howe qui souligne). 
Agent : "Ils sont nous, mais d'où viennent-ils ?" 
- Du futur. 
Agent : "Combien de temps dans le futur ?" 
- Longtemps. Très longtemps. 
Agent : "De quoi ont-ils besoin ici ?" 
- De quelque chose que tous les interprètes peuvent leur procurer. 
Agent : "Qu'est-ce que c'est ?"
- Je ne suis pas sûr, mais ça pourrait avoir un rapport avec les chromosomes, ou quelque chose de ce genre...
Agent : "Et comment le récupèrent-ils ?" 
- Ils le prélèvent. 
Agent : "D'où ?" 
- Du corps d'autres personnes. 
Agent : "Quelles parties du corps ?" 
- Ça dépend. 
Agent : "D'où ont-ils prélevé quelque chose sur vous ?" 
- Ils ne m'ont rien pris. 
Agent : "Mais vous êtes un interprète. 
- Nous avons été interrompus ...Ils ont été interrompu. Ils ont des problèmes. Avec le programme... Je comprends ce qu'ils disent, mais ils n'étaient pas supposés être là. Ils ont des problèmes. La chance n'est pas de leur côté. 

Agent : "Vous n'étiez pas censé comprendre le programme ?" 
- Non. En touchant ces choses (les symboles apparus en relief sur le véhicule). Je les ai activés. 
Agent : "Vous avez touché ces symboles et vous avez lancé un programme ?" 
- Oui. Il se réparait de lui-même. Ils voulaient simplement trouver un endroit le temps qu'il se répare. 
Agent : "Et en touchant ces symboles, vous avez interrompu le programme de réparation ?" 
- J'ai activé un code binaire. Les deux hommes (du gouvernement) veulent savoir pourquoi. 


Agent : "Et que leur répondez-vous ?" 
- Ils me demandent si j'ai déjà eu d'autres rencontres avec eux (lumières et voyageurs dans le temps) ? Je n'en ai pas eu. Ils en discutent entre eux. Çà se complique. Ils ont un problème. 
Agent : "Quel est leur problème ?" 
- Leur problème (celui de leur gouvernement) est que je ne peux parler de cela à quiconque. Ils ne demandent plus rien à propos du vaisseau. Et ils veulent savoir que faire de moi. 

Penniston a expliqué que les chromosomes étaient récupérés pour différentes raisons, particulièrement pour aider les voyageurs temporels car ils ont un "problème physique" et qu'il avait de la sympathie pour eux. Penniston ajouta que les voyageurs temporels "viennent ici depuis longtemps, au moins trente ou quarante mille ans, essayant de subvenir aux besoin de leurs enfants dans le futur". Ils expliqua que les enfants n'ont pas de cheveux, des corps humanoïdes avec une peau pale et très larges yeux "pour capter plus de lumière" parce que la terre du futur sera différente. 

Agent : "Leurs allées et venues, est ce que cela va avoir quelques effets négatifs sur nous ?" 
- Non. Cela ne nous fera aucun mal. 
Agent : "Est ce que cela altérera notre futur ?" 
- Pas sûr. 
Agent : "Si, pour quelque raison que ce soit, ils ne peuvent pas avoir ces chromosomes, que va t il leur arriver ?" 
- Ils mourront. 
Agent : "La race va s'éteindre. Peuvent ils se reproduire ?" 
- C'est un problème. 
Agent : "La reproduction est un problème. 
Est ce que nos chromosomes peuvent les aider à ce sujet 
- Apparemment. 
Agent : "Est ce qu'ils nous utilisent comme une sorte de stock de reproducteur ?" 
- Non. Comme des pansements. 
Agent : "Des pansements ? Pansements pour leur problème ?" 
- Augmentation... ils vont être en augmentation. Nous ne les avons pas remarqués (avant, plus maintenant), cela devient plus gênant. 
Agent : "Ils vont augmenter le montant de quoi ?" 
- Des visites. 

Voir cette vidéo à 34 mn où l'on parle justement du Sergent Penniston et du code binaire, là il est dit que ces visiteurs temporels viendraient de l'an 8100  !


Suite : 

Agent : "Prennent-ils parfois des fœtus ?" 
- Si c'est demandé, c'est fait. Il y a différents types de vaisseaux pour différentes tâches. Tout le monde (les agents gouvernementaux) est au courant à ce sujet. 
Agent : "Comment le savez vous ?" 
- C'est de cela qu'ils (les agents) sont en train de parler. C'est pour cela qu'ils veulent contenir la situation. 
Agent : "Qui veux contenir la situation ?" 
- Limiter les dégâts. 
Agent : "Qui contrôle la limitation des dégâts ?" 
- Les Américains et les Anglais. 
Agent : "Vous considèrent-ils comme un moyen de limiter les dégâts ?" 
- Ils nous voient, moi et John, et ils sont inquiets à propos du Col. Halt. Ils savent tout de nous. 
Agent : "Pourquoi sont ils inquiets à propos du Col. Halt ?" 
- Il ne laissera pas tomber. 
Agent : "Que prévoient-ils de faire au Col. Halt ? L'ont-ils dit ? 
- Ils ont plusieurs options. Ils pensaient à le discréditer, mais l'histoire d'OVNI est suffisante (note de Howe : cela implique peut être qu'une histoire d'extraterrestre est plus facile à gérer publiquement que le concept de voyageurs temporels venant de notre futur à cause de problèmes de survie). 

Penniston était frustré que les voyageurs temporels n'aient pas répondu à des questions comme l'année de leur provenance. Il expliqua que la communication avec eux était télépathique. "Ils ont un grand cerveau. Mais surtout, ils l'utilisent davantage que nous le faisons. Notre cerveau n'est pas développé. Nous n'utilisons pas toutes ses ressources." 

Agent : "Quand vous communiquiez avec eux, ont-ils déjà dit qu'ils venaient en personne ?" 
- Oh, oui. 
Agent : "Ils ont des véhicules pilotés ?" 
- Il y a différentes tâches. La première est de trouver des interprètes. 
Agent : "Est ce qu'ils prennent parfois des chromosomes ou cellules ou autres sur les animaux ?" 
- Ils l'ont fait, mais pas pour eux. 
Agent : "Pour qui ?" 
- Recherches. Cela ne les aide pas... Quelque fois ils fabriquent différents produits chimiques. 
Agent : "Pour quelles raisons produiraient-ils divers produits chimiques ?" 
- Je ne sais pas. Ils ont eu leurs propres problèmes. ... Cette fois ils avaient des problèmes, mais ils ont pu décoller. Ils ont besoin d'être dans l'espace pour voyager. Je pensais qu'ils avaient juste à rester sur place. Ils ont besoin d'être dans l'espace. Ils ont besoin de vitesse pour voyager. 
Agent : "Pour voyager dans le temps ?" 
- Pour aller dans le passé. Ils ne peuvent pas aller dans le futur. 
Agent : "Ils ne peuvent pas aller dans leur futur ? Mais ils peuvent aller dans le passé ?" 
- Ils vont dans leur passé. C'est impossible d'aller dans le futur. 
Agent : "Jusqu'à quel point peuvent-ils aller dans le passé ?" 
- Ces vaisseaux peuvent aller de quarante à cinquante mille ans dans le passé. Ils ne peuvent pas aller beaucoup plus loin. Il se pourrait qu'il ne puissent pas revenir. 
Agent : "Donc ils n'ont pas la capacité de retourner jusqu'au début des temps ?" 
- Non, ils ne peuvent pas générer de telle vitesse. Cela demande beaucoup de vitesse. 
Penniston a dit que le gouvernement des États-Unis a eu accès à un de leur engin car "ils font des erreurs parfois", sous entendant qu'il y eut un crash. 
Agent : "Ont-ils eut un contact verbal avec le gouvernement pour expliquer la situation ?" 
- Non. Seulement via des interprètes. 
Agent : "Seulement via des interprètes comme vous-même ?" 
- Cela rend les choses difficiles pour notre gouvernement. Ils ne sont pas sûrs de la nature du problème. C'est pourquoi je suis débriefé. 
Agent : "Est-ce que le gouvernement croit ce que vous dites sur le fait qu'ils viennent du futur ?" 
- Oh, oui. 
Agent : "Ils croient ça ?" 
- Oh, oui. 
Agent : "Est-ce que le gouvernement pense qu'ils représentent une menace ?" 
- Pas de menace militaire. 
Agent : "Quel autre type de menace pourraient ils représenter ?" 
- Parfois ils deviennent impatients. 
Agent : "Et ensuite ?" 
- Ils prennent ce qu'ils veulent car cela les aide dans leurs recherches. 
Agent : "Alors parfois ils prennent des gens ?" 
- Certainement 
Agent : Donc s'ils ont pris du matériel génétique de quelqu'un d'aujourd'hui, alors vos enfants pourraient naître dans un lointain futur ?" 
- Je joue un tout petit rôle a propos de la procréation. Il se pourrait que je sois responsable de leur progéniture, mais c'est celui trente ou quarante générations plus tard qui est le responsable. C'est la personne qui a accepté cette ligne temporelle. 
Agent : "Pourquoi vont-ils si loin dans le temps ?" 
- Pour que cela n'affecte pas la ligne temporelle. Plus loin c'est loin, mieux c'est, moins cela a d'effet sur le futur. Ils ne veulent pas changer le futur. 
Agent : "Donc ce n'est pas que c'est impossible de changer le futur, mais ils ne le font pas..." 
- Ils ne peuvent pas le contrôler. C'est trop fastidieux. Ils ne le modifient pas. C'est pourquoi ils vont si loin. Est-ce que c'est censé ? 
Agent : "Oui. Ok, allons jusqu'à la partie où vous entendez les agents parler de ce qu'ils vont faire de vous" 
- Ils vérifient les points de leur check-list. Ils ont une liste rédigée. 
Agent : "Quel est le scénario?" 
- Ils me disent que lorsque j'étais à la porte Est avec John, ils avaient cinq histoires différentes à raconter. L'important c'est de varier les dates. C'est la seule chose qui compte dans tout cela - toutes les histoires sont les mêmes. Ils ont juste des dates différentes. {(note de Howe : changer les dates et les points de références discrédite les témoignages et donc cela embarrasse les enquêteurs)} 
Agent : "Que se passe-t-il ?" 
- Ils me lisent mon histoire. Les dates sont justes différentes. Je me souviendrai. Ils vont me donner un avertissement. 
Agent : "Quel avertissement ? Que se passe-t-il si vous désobéissez ?" 
- Ils ne peuvent rien faire. Ils me disent que je vais faire causer du tord au monde. Cela ira à l'encontre de la sécurité nationale et pourrait détruire le système, causer des guerres, le chaos dans les rues. C'est pourquoi il est important de garder le silence. (Mais) ... Cela ne fait pas de différence si je raconte cette histoire. Ils s'en moquent. C'est trop incroyable. 

Deux semaines après l'expérience du 26 décembre 1980 par le Sgt Jim Penniston, le Lt Col Charles I. Halt de l'USAF qui était [commandant-adjoint de la base] à Bentwaters en Décembre 1980, a rédigé un rapport sur papier officiel à en-tête du quartier-général de l'Air Force, destiné à la Royal Air Force/CC, en date du 13 janvier 1981. Le sujet était "Lumière inexpliquée". 

Le Colonel Halt y déclarait que "autour de 3h du matin le 27 décembre 1980, deux patrouilleurs de la sécurité policière de l'USAF ont vu des lumières inhabituelle à l'extérieur de l'entrée arrière de RAF Woodbridge." (Note de Howe : incohérence des dates pour introduire une confonsion ? Ou une autre nuit dans une série d'évènements ?). Pensant qu'un véhicule volant puisse s'être écrasé ou avoir été contraint d'atterrir, ils ont demandé la permission d'aller au-delà des murs d'enceinte pour enquêter. Le chef d'escadrille en charge a répondu et accepté que trois patrouilleurs aillent voir à pied. Les individus ont rapporté avoir vu un étrange objet lumineux dans la forêt. 

L'objet a été décrit comme étant métallique d'apparence et de forme triangulaire, faisant approximativement deux ou trois mètres de base et environ deux mètres de haut. Il illuminait la forêt entière d'une lumière blanche. L'objet lui-même avait une lumière rouge clignotante sur le dessus et plusieurs lumières bleues dessous. L'objet lévitait ou était monté sur des supports. A mesure que les gardes approchaient de l'objet, il manoeuvra vers les arbres et disparut. A ce moment-là, les animaux dans une ferme à proximité étaient surexcités. L'objet a été brièvement aperçu, approximativement une heure plus tard, près de l'entrée arrière." 

Le rapport du 13 janvier 1981 rédigé par le Col Halt sur l'incident de Bentwaters n'a pas été le seul à émerger. Une lettre présumée du Ministère Anglais de la Défense où la date, le destinataire et l'auteur ont été effacés mentionnait spécifiquement des "entités" qui étaient de petite taille, "approximativement 1m ou 1,50m de haut, habillés de combinaisons pressurisées en nylon, mais sans casque. La nuit était brumeuse, donnant l'impression que les entités lévitaient au dessus du sol. ... Selon l'OSI (Air Force Office of Spécial Investigations), les entités avaient des mains déformées avec trois doigts et un pouce opposable". (Note de Howe : des EBE de Type II). 

Si de telles entités sont des "voyageurs temporels" venus du futur terrestre avec des mains mal formées qui ont seulement quatre doigts, que s'est-il passé dans l'évolution de l'Homo sapiens ? 

Après la session d'hypnose du 10 septembre 1994, le Sergent Jim Penniston évoqua la position du gouvernement américain sur la rencontre de Bentwaters en ces termes : 

"Ils ne toucheront pas à quiconque a été contacté. Ils (les agents du gouvernement américain) ne sont pas sûrs de ce que les êtres (voyageurs temporels) vont faire. 

Ciel, c'est incroyable ! le gouvernement américain est impuissant. Ils ne savent que faire et ils ne vont pas me causer de problèmes parce qu'ils ne savent pas ce que les êtres feraient. Le gouvernement ne sait pas si les êtres agiront ou pas. Le gouvernement est inquiet au sujet d'une ingérence." 

Penniston parle d'une ingérence aliène, peut-être même de représailles si le gouvernement essaie d'interrompre ou d'interférer avec la présence des voyageurs temporels et la récupération de matériel génétique terrien. 

Quand Penniston a posé les mains sur les symboles en relief, il pense avoir activé une technologie qui a envoyé dans son esprit de la lumière porteuse d'une communication en code binaire. Le fait que la source de l'information soit des voyageurs temporels venant du futur est quelque chose de saisissant dans un contexte tel que celui-ci, le souvenir d'un témoin oculaire militaire. 

Cependant, l'idée que certains des êtres parmi ceux du phénomène Ovni, soient des voyageurs temporels fut évoquée auparavant dans les cas d'abduction humaine. 

Le voyage temporel est également un sujet sérieux pour la physique moderne. Les théories mathématiques disent que si la matière approche de la vitesse de la lumière, le temps semble ralentir aux yeux de l'observateur extérieur. 

Étant vous-même fait de matière, vous ne verriez aucune différence dans le temps. Plus vous approcheriez de la vitesse de la lumière, C, plus le temps s'écoulerait lentement. Si vous atteigniez C, le temps s'arrêterait et si vous pouviez dépasser la vitesse de C, le temps s'inverserait, mais uniquement pour un observateur externe. Vous, le voyageur allant plus vite que la lumière, n'auriez pas de point de référence pour ce changement du temps jusqu'à ce que vous soyez retourné à votre point de départ physique sur la terre, en ayant ralenti à des vitesses normales. Alors, vous verriez que vous êtes retourné dans le passé comme il est dit dans ce fameux quatrain: 

Il y avait une femme prénommée Claire
qui voyageait plus vite que la lumière.
Un jour elle partit très relativement
et revint chez elle la nuit d'avant.

Kurt Godel, physicien théorique, décrivit dans "Albert Einstein : Le philosophe scientifique" une galaxie tournante particulière dans laquelle, "en effectuant un voyage dans une fusée sur une trajectoire courbe assez large, il est possible dans ces mondes de voyager dans n'importe quelle région du passé, du présent ou du futur, puis de revenir, etc..." -  Source  Hazuka, pour Ovnis-USA 

Une analyse du code binaire a donné ces informations :

- cela était un message disant : Qu'ils sont en voyage de découverte de l'Humanité,
pour le progrès planétaire.
Et 7 emplacements géographiques ont été décodés par des données en code binaire de longitude et latitude  :
SEDONA - ARIZONA
BELIZE - AMÉRIQUE CENTRALE
NAZCA - PÉROU (près de géoglyphes !
GRÈCE
ÉGYPTE
NORD DE LA CHINE
Hy-Brazil (une île mythique au sud-ouest de la Grande Bretagne)
(ces lieux son justement des haut-lieux géo-magnétiques qui pourraient servir de passage)


Les suites de l'affaire de Rendlesham - février 2015 - J. Burroughs est reconnu "victime d'un ovni" !

C’est une décision sans précédent: John Burroughs, un ancien militaire américain en poste en 1980 sur la base de l’OTAN de Bentwaters, dans le sud de l’Angleterre, vient d’obtenir le remboursement de ses frais médicaux pour une liaison cardiaque en lien avec le célèbre OVNI de Rendlesham.  

Pendant des années, l’armée US a prétendu que le première-classe John Burroughs n’était pas en service actif en 1980. Au terme d’une longue procédure et avec le soutien du sénateur républicain, John McCain, le vétéran a enfin obtenu que la hiérarchie militaire reconnaisse le lien direct entre sa maladie et ses activités au sein de l’armée. Plus précisément, à une surdose de radioactivité à laquelle il a été exposé dans la nuit du 25 au 26 décembre 1980, quand, avec d’autres soldats il aurait été confronté à un objet d’origine inconnue sur la base anglo-américaine de Bentwaters, dans la forêt de Rendlesham dans le Suffolk.

Peu de temps après l’incident, John Burroughs a commencé à ressentir des symptômes physiques et des malaises. Mais c’est en 2011 que son état physique s’est brutalement dégradé avec une défaillance de la valve mitrale, très surprenante, selon ses médecins, pour un homme d’une cinquantaine d’années.

Mais ni John Burroughs, ni ses médecins n’ont pu avoir accès à son dossier médical « classifié ». Même le cabinet de l’ancien candidat à la présidence, John McCain, appelé à la rescousse, n’est pas parvenu à mettre la main sur ce dossier. En définitive, ses avocats ont retrouvé dans les archives du ministère de la Défense deux documents prouvant que le site sur lequel s’est rendu le jeune soldat présentait des niveaux de radioactivité très élevés.

"J’essaye encore de comprendre ce que j’ai vu"

Pour l’avocat de John Burroughs, Pat Frascogna, les conséquences de cette décision sont évidentes : « Le gouvernement américain reconnaît de facto l’existence des OVNIs ». Et il poursuit : « John Burroughs s’est trouvé très proche de l’OVNI lors de cette nuit de décembre. Pendant des années, le gouvernement américain a nié le fait même qu’il se soit passé quelque chose à Rendlesham. Mais la Grande-Bretagne a déclassifié en 2006 une étude sur les OVNIs, le Projet Condign, classé à l’origine « Secret UK Eyes Only » dans lequel on peut lire ceci :

« L’événement bien documenté de la forêt de Rendlesham Forest/Bentwaters est un cas où l’on peut supposer que plusieurs observateurs ont été probablement exposés aux radiations émises par un PAN (Phénomène Aérien Non-identifié) durant une période plus longue que la durée normale (sic) des observations de PAN. » « Le gouvernement a donc reconnu le lien direct entre les problèmes de santé de mon client et sa rencontre avec un OVNI » assène l’avocat.

Interviewé par le Mirror, le principal intéressé se réjouit de cette décision qui va lui permettre de payer l’opération cardiaque très couteuse aux États-Unis qui doit lui sauver la vie. Quant à sa « rencontre » avec l’OVNI de Rendlesham, elle demeure pour lui un mystère : « J’essaye encore de comprendre ce que j’ai vu. Je pense que les gouvernements sont au courant de ce phénomène mais qu’ils peinent eux aussi à l’élucider. »

Source : parismatch 

  

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